Bon peut être (cette expression je l'aime bien, ça vous (?) laisse juge, et retire de mon pouvoir) que j'dois lacher les rennes et moins faire dans la reflexion pour poster d'avantage par ici. Je vous l'accorde l'intérêt sera sûrement moindre niveau "fond" et même niveau "forme", mais la quantité sera accrue. Alors sempiternelle dilemne : qualitatif VS quantitatif! De mon point de vue du quantitatif peut émerger le qualitatif, donc autant déverser? N'étant pas lié à un contrat (ou alors moral c'est ça qui me fait écrire ce début de note limite chiant sur les bords ;)), je me lance donc dans l'envie subite de note de blog. On verra combien de temps ça me prendra (et vue ma capacité à la déroutinisation pas certaine que ça tienne).
Bon sinon de vous dire que je viens de mailer ma psy (ce sujet reviendra souvent, m'engageant dans ce fabuleux voyage de la psychanalyse qui a priori n'est pas près de s'arrêter). C'est peut être ça qui m'anime la partie écriture de mon cerveau en mode veille ces derniers temps. J'ai encore et toujours 10 000 trucs à penser et repenser, je ne me souviens plus de tout ce que je déverse en séance mais je sais ce qui m'irrite et me fait mal, et ce que je vais devoir travailler (forcément quand ça fait mal c'est ce qu'il faut soigner non?). Le truc c'est qu'un point abordé durant nos derneirs échanges m'omnubile et direct j'me sens mal. J'appréhende le futur dialogue car pas bête ma psy a vu le sujet qui me destabilise et va vouloir aller plus loin (forcément allez vous me dire). C'est "dingue" comme je suis pétrie de paradoxes, et névroses et que sais je encore, sans avoir vécu d'éléments hypers traumatisants comme on peut les imaginer. N'empêche qu'y'a blocage ça m'saouuuuule. Sans parler que je sais qu'elle ne me trouvera pas les solutions miracles, que je le ferai par moi même, mais alors pourquoi je consulteuuu?! Ouai ok ça m'fait du bien, ça m'fait travailler les méninges, et ça m'fait même un peu de relation social (Tu vois une amie? Non ma psy <= question fictive empreinte de semi réalité). En fait ce qui m'énerve le plus c'est que j'ai sauté le pas de la psychanalyse (bon j'partais pour une thérapie mais je me rends compte que c'est plus de l'analyse bref bref), pour un problème précis, et que je m'engage dans un tout autre chemin (on a beau me dire que je dois régler 10 000 trucs avant de pouvoir régler mon problème, ça fait mal là où je pense).
Ah oui et j'ai continué avec la feutrine mais ça ne rend pas ce que je voulais (jamais contente de ce que j'fais huuuu). Par contre j'suis retombée sur des mini perles feutrées que j'ai faites y'a un an, et je les ai montées immédiatement en bracelet élastique héhé. J'avance vous croyez? (J'me fais moitié peur de passer du coq à l'âne entre mes activités à 2 balles et mes réflexions tordues, mon paradoxe time est dans la place wesh wesh).
Je n'ai toujours pas pris RDv chez un médecin pour mettre mes vaccins à jour (j'y repense car je me suis méchamment transpercée les doigts avec les aiguilles à feutrer hier soir), ni chez un dermato, gyneco, dentiù$^*ù (on ne prononce plus ce moooooot devant moi :@). Ouai j'dois fuir le danger ou un truc du genre (tiens un nouveau thème pour ma psy ^^'). Peur d'avoir peur (de mauvais résultats).
Il est 3h du mat' passé et j'aime toujours cette impression "hors du temps" où on écrit de nuit. Peut être essaye je de croiser la route d'une âme nocturne qui s'ennuie et écrit elle aussi? Mouaif non je sais pas. Enfin si je sais que j'ai moins l'inspi dans l'après midi, et suis moins d'humeur introspective et/ou partageuse. Et si un/une bordelais(e) traine dans l'coin et a un projet en tête qu'il/elle me fasse signe ;)
Mon iench pionce, (ça m'fait vous dire que vous loupez une vidéo "lolilol" de me voir jouer avec lui tel 2 canidés débiles à se sauter dessus) il est donc sûrement plus que l'heure de rejoindre la couche pacséïte!