Alors!! Je vais reprendre un peu ma réflexion sur ce goût du « virtuel ». Je me suis entretenu avec un professionnel de la socio psychologie, histoire de voir comment pouvait il m'aider dans ma quête de projet professionnel adéquat. Et à un moment nous avons abordé le thème de la communication sur Internet. De fils en aiguille effectivement j'ai compris que j'appréciais autant ce moyen que j'y prenais plus ma place, que dans la vie réelle (celle là où je m'empêche d'être vraiment moi même, de peur de déranger, sans savoir prendre ma place). Mince j'étais face à un travers, moi qui aime tant me passionner pour ce média qu'est Internet et où j'aime prendre mes marques.

De retour à la maison, j'ai fait un debrief à ma pacsée une fois au restau (fatigue pour tout le monde hier soir). Et là où le monsieur m'a dit de travailler ça recoupe ce que j'aime à travers la communication virtuelle. J'ai pu pointer du doigt la place que je me donne vis à vis des autres et de la société (ce que j'étais incapable de nommer/voir 2heures avant), grâce à l'aide et au soutien de ma semi professionnelle en psychologie préférée :) Cette notion de PARTAGE est vraiment LE truc qui fait que je m'anime, qui me plait, qui m'anime, que je recherche au final. Pfiou super dur toutes ces questions profondes j'vous l'dis.

Maintenant je dois réfléchir aussi à ce que je ressens, ce qui me plait, ce que je souhaite au plus profond. Ah bah on n'est pas sorti de l'affaire, puisque évidemment j'ai tout fait pour cacher ma sensibilité/mon ressenti derrière un mur de raisonnement/réflexion. De telle sorte que je me protège et me perd depuis des années. Bonjour la crise existentielle!

J'ai quelques pistes qui essayent de pousser depuis mon ventre (si si j'vous jure genre j'me transforme en monstro plante), mais je n'ose pas les arroser, ni trop leur montrer la lumière, de peur qu'elles s'épanouissent (?).

« Mini envie »

Réalité vs virtuel, le retour!

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